Je cherche la prospérité. Pour mon pays, pour moi.
Comme tout bon citoyen , on espère juste vivre dans un pays qui nous apporte la paix. Dans lequel, on atteint la prospérité tant souhaité et tant rêver. Le FMI calcule la prospérité des pays suivant la qualité des institutions et le travail qui y est fournie au niveau fiscal. Cela sous entends que l’on doit se fier au travail des individus constituant cette société. Quels sont donc les principes que l’on doit intégrer pour atteindre cette prospérité tant rechercher ?
1. On doit prendre l’initiative
Thomas Jefferson disait : « Plus je travaille, plus j’ai l’air d’avoir de la chance ». ça signifie simplement que si attendez que les choses vous arrivent , il ne va rien se passer. Il faut prendre l’initiative, passer à l’action.
2. On doit arrêter de se lamenter. Arrêtez de se plaindre.
J’ai lu un jour une analyse de Farida que j’ai trouver très pertinente : on nous traite de petit pays avec nos 56 600km2 mais la Belgique n’en fait que 30688, et la république dominicaine 48 442. Pourtant, ces deux pays ont une plus forte croissance et prospérité que nous. On doit arrêter de se plaindre de notre situation et fructifier ce que l’on possède.
3. Disons merci
La gratitude réveille en nous l’esprit d’abondance. Ne dit-on pas que plus l’on donne plus l’on reçoit ? Et bien sachez que plus vous êtes satisfait de ce que vous recevez, plus la nature vous en offre plus.
4.Rendons heureux le plus de personnes possible autour de nous
Non, à ce niveau, je ne parle pas encore de l’aumône mais de l’autre aspect de la chose.Prenons des exemples :
- Edison : + 1000 inventions. Pourquoi il a fait ça ? C’est pour faciliter la vie des gens.
- Henry Ford : son objectif était : mettre la voiture à la portée de tous.
- Bill Gates : son objectif était de mettre un ordinateur dans chaque foyer
Donc le premier objectif doit être de trouver une solution pour rendre notre entourage heureux et quand on le trouve, on prospère.
5. Soyons honnête
Le Karma existe bel et bien. Si l’on fait du bien, le bien nous revient. Pareil pour le mal. Seul les hommes honnêtes arrivent à atteindre un certain niveau de prospérité.
J’ai trouvé une boîte aux trésors très intéressant que je partage avec vous à ce niveau :
Les 5 secrets de CRAIG HILL
Dans son livre «5 secrets de la prospérité que 96% d’entre nous ne connaissent pas», Craig Hill se propose de partager avec nous 5 secrets bibliques inspirés de la culture juive :
Secret n°1 : Place ton argent en 5 jarres et alloue un pourcentage de ton revenu à chacune d’entre elles. Limite volontairement tes dépenses au montant qui reste après que tu es fait tes déductions. N’utilise jamais une jarre pour renflouer une autre. Sois ferme avec toi-même!
Secret n°2 : Focalises toi sur la vision et non la provision. Choisis une carrière ou une profession en accord avec ton appel et les dons que Dieu t’a donnés et non en fonction de l’argent. Ensuite, poursuis ton appel et ta vision de tout ton cœur et attends-toi à ce que la provision suive ta vision.
Secret n°3a : a- N’investis que dans des domaines qui ont une capacité de multiplication. N’emprunte jamais pour acheter un bien qui perd de sa valeur avec le temps. Assures-toi que seul Dieu règne en maître sur tes finances et non une banque ou un organisme de crédit. Adopte un style de vie modeste qui correspond à tes revenus et respecte les limites que tu t’es fixées.
Secret n° 3b– Investis ton argent, ton temps et ton énergie dans des personnes fidèles et qui se multiplient. Après testé et observé qui est vraiment fidèle et est capable de multiplier, regarde ceux qui n’ont rien fait de ce que tu leur a donné et n’investis plus en eux.
Secret n°4 : Comprends que l’économie est cyclique et non linéaire. Ainsi, anticipe toujours et prépare la prochaine phase du cycle économique. Apprends à prospérer quand l’économie se contracte ou est en croissance.
Secrets n°5 : Planifie de laisser un héritage à tes enfants et aux enfants de tes enfants. Implémente une stratégie pour assurer aux prochaines générations des revenus afin qu’il ne soient pas des emprunteurs mais des prêteurs.
